Mitgliedschaft in internationalen Organisationen und Entwicklungszusammenarbeit
Publié : novembre 1, 2012 Filed under: Uncategorized Laisser un commentaireAm 24. Oktober war Tag der UNO, am 16. Oktober der Welternährungstag. Grund für uns, einmal genauer nachzuschauen, wie es um Israel in der Völkerfamilie bestellt ist.
In diesem Sondernewsletter erfahren Sie etwas über die Mitgliedschaften des Staates Israel in internationalen Organisationen und Israels Engagement in der Entwicklungszusammenarbeit.
![]() |
Die Vereinten Nationen |
Alles begann in der UNO: Am 29. November 1947 nahm die UN-Generalversammlung den UN-Teilungsplan für das britische Mandatsgebiet Palästina mit 33 zu 13 Stimmen bei 10 Enthaltungen an. Am 11. Mai 1949, ein knappes Jahr nach Ausrufung des Staates durch David Ben Gurion, wurde Israel 59. Mitglied der Vereinten Nationen. Die Beziehung zwischen Israel und der UNO verläuft seitdem wechselvoll – besonders, wenn es um die Vollversammlung geht. Für Israel wichtige Resolutionen der UN-Vollversammlung sind etwa die Resolution 3379, die Zionismus mit Rassismus gleichsetzt (1975), die Entscheidung, diese wieder aufzuheben (Resolution 46/48 von 1991), die Entscheidung, einen internationalen Gedenktag für den Holocaust einzuführen (2005) und viele Entscheidungen des Sicherheitsrates, die sich mit dem israelisch-arabischen Konflikt beschäftigen, so z.B. Resolution 242 (mit Ende des Sechs-Tage-Krieges), Resolution 338 (zum Ende des Yom-Kippur-Krieges), Resolution 425 zum Libanon und in jüngster Zeit Resolution 1701, die zum Ende des Zweiten Libanonkrieges führte.
Sicherheitsrat der Vereinten Nationen Da die Wahl in den Sicherheitsrat nach einem Regionalschlüssel erfolgt, konnte Israel sich nicht bewerben, solange es noch keiner Regionalgruppe angehörte. Seit dem Jahr 2000 ist Israel zeitlich befristet Mitglied der Gruppe der westeuropäischen und anderen Staaten (WEOG) und hat sich in diesem Rahmen um eine Mitgliedschaft im Sicherheitsrat für 2019/20 beworben. |
Menschenrechtsrat der Vereinten Nationen
Der UN-Menschrechtsrat ist ein relativ neues Gremium. Die Arbeit seines Vorläufers, der Menschenrechtskommission der Vereinten Nationen, zeichnete sich durch fehlende Objektivität und eine Politisierung aus, die sich hauptsächlich gegen Israel richtete. Obwohl die westlichen Staaten zugesagt hatten, dass sich dies im Menschenrechtsrat ändern würde, war Israel davon nicht überzeugt und stimmte gegen die Gründung des Gremiums.
Nur zwei Wochen nach seiner Gründung im Juni 2006 berief der Menschenrechtsrat bereits eine Sondersitzung zum Thema „Die israelischen militärischen Aktivitäten gegen die palästinensische Zivilbevölkerung“ ein.
Auch im weiteren Verlauf setzte der Rat seine Konzentration auf das Thema Israel fort.
Im März 2012 beschloss Israel, die Beziehungen zum UN-Menschenrechtsrat abzubrechen.
![]() |
|||||
OECD | |||||
Israel ist seit dem 7. September 2010 Mitglied in der Organisation für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (OECD). Bereits vor der Vollmitgliedschaft hatte das Land viele Maßstäbe und Programme der Organisation angenommen und umgesetzt, so wurde etwa bei den meisten Doppelbesteuerungsabkommen der Modellvertrag der OECD adaptiert. 2006 änderte die Bank Israel die Berechnungsmethode für das israelische Bruttoinlandsprodukt, um eine Vergleichbarkeit mit den OECD-Berechnungen zu ermöglichen. Auch dem Anti-Korruption-Abkommen der OECD war Israel noch während der laufenden Beitrittsverhandlungen beigetreten, die am 16. Mai 2007 eröffnet worden waren. Israel in der OECD: http://bit.ly/oecdsite Israel im OECD-Vergleich: Der Better Life Index Aus dem Israel-Bericht des OECD Better Life Index: Mit Geld kann man zwar kein Glück kaufen, doch ist es ein wichtiges Mittel zum Erreichen höherer Lebensstandards. In Israel beträgt der durchschnittliche finanzielle Wohlstand einer Person 47.750 US-Dollar im Jahr. Dies ist mehr als der OECD-Durchschnitt von 36.238 US-Dollar. 60% der Menschen zwischen 15 und 64 in Israel haben eine bezahlte Arbeitsstelle, dies liegt unter dem OECD-Durchschnitt von 66%. Menschen in Israel arbeiten durchschnittlich 1.889 Stunden im Jahr, der Durchschnitt in der OECD liegt bei 1.749 Stunden. In Israel verfügen 80% der Menschen zwischen 25 und 64 Jahren über einen Highschool-Abschluss, im OECD-Durchschnitt sind es lediglich 74%. Im PISA-Vergleich liegen die israelischen Schüler bei 459 Punkten, der OECD-Durchschnitt beträgt 497 Punkte. Israelische Mädchen waren bei PISA erfolgreicher als Jungen – durchschnittlich um 13 Punkte. Dies gilt auch im OECD-Durchschnitt, dort sind es aber lediglich 9 Punkte Unterschied. Die Lebenserwartung in Israel beträgt 82 Jahre, zwei Jahre mehr als der OECD-Durchschnitt von 80 Jahren. Die Lebenserwartung für Frauen beträgt 84 Jahre, im Vergleich zu 80 für Männer. 88% der Menschen in Israel erklären, sie kennten jemanden, auf den sie sich in der Not verlassen könnten, im OECD-Durchschnitt sind es 91%. Bei den letzten Wahlen lag die Wahlbeteiligung bei 64%, der OECD-Durchschnitt betrug 73%. 63% der Menschen in Israel erklären, sie hätten an einem durchschnittlichen Tag mehr positive als negative Erfahrungen, im OECD-Durchschnitt sind es 72%. OECD Better Life Index: http://bit.ly/OECDbetterlife
|
Des Arias dans la Vieille Ville
Publié : février 1, 2012 Filed under: Uncategorized Laisser un commentaire
La lune de miel avec le Hamas – un regard averti
Publié : janvier 25, 2012 Filed under: Politique, Sécurité Laisser un commentaireCes derniers jours, nous sommes les témoins d’une recrudescence du dialogue, allant jusqu’à une chaleureuse accolade, de la Suisse avec l’organisation Palestinienne du Hamas. Cette organisation qui a inscrit dans sa Charte la destruction de l’État d’Israël, et qui a été déclarée organisation terroriste par l’Union Européenne et d’autres pays Occidentaux.
La semaine passée, une délégation du Hamas était de passage à Genève. Le porte-parole du Hamas a eu l’opportunité de parler à l’Université de Genève, en attisant la haine envers Israël. La presse locale a servi malheureusement de moyen de diffusion de ses opinions. La même semaine, l’envoyé de la Suisse au Moyen-Orient, Jean Daniel Ruch, a rencontré le responsable de l’organisation, Haled Mashaal au Caire. Cette démarche s’ajoute à une série d’autres contacts que la Suisse entretient avec d’autres éléments radicaux dans le monde, parmi lesquels le Hezbolla et l’Iran d’Ahmednidjad. Le lien entre toutes ces organisations du Moyen-Orient est, pour les plus extrémistes, l’appel à la destruction d’Israël, et pour les plus modérés la non-reconnaissance de son droit à l’existence.
Il est indéniable que chaque pays a le droit de déterminer sa politique, et de choisir ses alliances et les organisations
avec lesquelles il souhaite entretenir des relations. L’orientation politique d’un pays s’appuie et se détermine par une analyse d’un plan d’intérêts, tout comme par les valeurs morales adoptées par ce même pays.
Qu’est-ce qui amène un pays comme la Suisse, garante des valeurs universelles, située au centre de l’Europe, berceau des valeurs les plus sublimes d’ouverture, du libéralisme et des droits de l’homme, à entretenir un dialogue chaleureux avec des États radicaux et des organisations qui ne reconnaissent pas les mots « libéralisme » et « Droits de l’homme » ?
L’histoire récente de l’Europe nous a démontré, de façon douloureuse et en payant cher, que le maintien du dialogue avec des personnes ayant un programme idéologique extrémiste et radical, dans le but de modifier leur ligne comme le disent les personnes de bonnes intentions, ne tient pas et souvent est le fruit d’une fausse appréciation de la réalité.
Les exemples face à ceux qui refusent de voir les dangers provenant des organisations tels le « Hamas », le « Hezbolla »et certainement l’Iran, sont nombreux et variés. Il suffirait d‘écouter avec le sérieux requis les déclarations de leurs leaders ou de lire attentivement leurs chartes idéologiques, base de leur fondation et leurs actions.
Les appels à la destruction d’Israël, venus de Téhéran et de son allié le « Hezbolla » au Liban, sont devenus monnaie courante. Ces appels sont accompagnés d’une activité effrénée pour l’obtention du nucléaire, dont un arsenal impressionnant de fusées.
La visite la semaine dernière du premier ministre du Hamas Haniya en Tunisie, celle de l’après la Révolution du printemps arabe gouvernée par les islamistes, présente aussi une occasion pour comprendre la nouvelle réalité. À l’aéroport déjà, dès son arrivé aux appels de la foule à « tuer les Juifs » et « libérer la Palestine » Haniya a répondu que le Hamas « ne reconnaitra jamais, mais au grand jamais l’État d’Israël ».
La bande de Gaza est depuis longtemps l’endroit où l’on trouve la quasi-totalité des articles et des marchandises provenant d’Israël et de l’Egypte, où les restaurants et les hôtels sont bondés de personnes profitant et de produits de luxe. Le discours contre Israël cependant ne varie pas. Personne ne souhaite être embêtée par la réalité.
Certes, les voix contre Israël sont similaires et elles sont nombreuses. La tendance est négative, radicale et par-dessus tout, antisémite. Y-a-il lieu à encourager et à renforcer cette tendance? Y-a-il lieu à légitimer la pensée antisémitisme au nom de la religion? Est-il concevable de penser qu’en raison d’un dialogue cette tendance changerait soudain? Le champ expérimental est problématique, car il s’agit de la vie humaine et de la sécurité des personnes. Si cela échouait, les premiers à payer le prix fort seraient les citoyens de l’État d’Israël et la paix au Moyen-Orient. Il ne faudrait pas que l’Europe prenne ce risque.
Shalom Cohen,
Nommé ad interim à l’Ambassade d’Israël à Berne.
Ancien ambassadeur d’Israël en Égypte.
La Suisse a tort de légitimer le Hamas
Publié : janvier 24, 2012 Filed under: Politique Laisser un commentaireL’ambassadeur d’Israël s’inquiète des contacts avec le mouvement islamiste
Le meilleur bilan des Droits de l’Homme pour Israël
Publié : décembre 12, 2011 Filed under: Politique, Sécurité Laisser un commentaireLe professeur d’Harvard, Alan Dershowitz, nous explique que, en comparaison de sa situation, aucun autre pays qu’Israël n’a eu un meilleur bilan en matière de respect des Droits de l’Homme.
Découverte à Tel Aviv des secrets de la voiture volante
Publié : novembre 23, 2011 Filed under: Science et technique Laisser un commentairePar Naama Rehoboam – Mardi 15 novembre 2011
Source: Guysen International news
Un “taxi solaire” suisse roule en Israël
Publié : novembre 8, 2011 Filed under: Science et technique Un commentairePar Sharon Udasin (Jerusalem Post)
Le 1er novembre 2011
Le Ministre de la Protection de l’Environnement, Gilad Erdan, loue l’inventeur automobile Louis Palmer pour son rôle d’éducateur international en faveur d’ « une vie meilleure».
La capsule bleue d’une voiture attelée à une remorque portant des panneaux solaires a roulé à travers le jardin du Council for a Beautiful Israel mardi après-midi, avec à son bord l’inventeur suisse du « solartaxi », Louis Palmer, et le Ministre israélien de la Protection de l’Environnement, Gilad Erdan.
« Vous avez rapporté le soleil en Israël, mais nous voulons la pluie », a plaisanté Erdan à l’intention de Palmer, alors qu’ils montaient dans le véhicule.
Le taxi solaire de Palmer, qui a déjà parcouru 60’000 km dans 40 pays depuis son lancement en 2007, faisait sa visite inaugurale en Israël cette semaine dans le cadre de la campagne « Solar Journey » produite par le Council for a Beautiful Israel et l’association nationale EcoCinema.
EcoCinema présentera un documentaire sur les voyages de Palmer lors de son festival de film qui aura lieu la semaine prochaine.
La voiture solaire, a expliqué Palmer lors de la conférence de presse qui a suivi la démonstration, provient d’une vision qu’il a eue lorsqu’il avait 11 ans en 1982, un rêve qu’il a finalement décidé de réaliser en 2003, alors qu’il travaillait comme professeur.
« J’ai toujours imaginé que quand je serais grand, je voyagerais tout autour du monde », a déclaré Palmer, « mais notre professeur nous disait toujours que si vous utilisez de l’essence, vous contribuerez aux problèmes de l’environnement ».
Stupéfié que 20 ans plus tard, ce véhicule n’était toujours pas commercialisé, il décida de faire le travail lui-même.
« Je n’avais aucune idée de comment on fabriquait une voiture. J’avais un compte dans une banque suisse, bien sûr, mais ça ne m’avançait pas à grand-chose », a-t-il expliqué, faisant remarquer que les développeurs de voitures demandaient quatre millions d’euros pour ce travail, alors que lui, avec son emploi de professeur ne pouvait en aligner que 4000. S’adressant tout d’abord à l’Université de Lucerne, son lieu de résidence, Palmer y présenta un modèle compliqué d’automobile avec deux roues à l’avant et une à l’arrière qui « ressemblait à une Lamborghini ».
Finalement, il réussit à attirer 200 personnes et de nombreux sponsors qui l’aidèrent dans ses efforts.
Et en juillet 2007, il quitta Lucerne dans un véhicule solaire totalement opérationnel.
Palmer a admis qu’il ne savait « pas exactement où aller ».
Mais ce voyage l’emmena à l’est vers l’Allemagne, au sud vers la Turquie, la Syrie et même l’Arabie Saoudite, où le Roi Abdullah lui accorda un rare visa. Il prit ensuite le bateau jusqu’en Inde pour aller participer à une conférence sur le climat à Bali, puis traversa les Etats-Unis pour revenir en Europe.
« Tout autour du monde, j’ai trouvé des gens pour m’aider », a-t-il affirmé. « Je l’ai appelé le taxi solaire parce que j’ai eu plus de 1000 personnes qui ont conduit avec moi ». Et à ses côtés.
A la fois en Syrie- où il a eu son premier accident- et en Arabie Saoudite, il a été escorté par des véhicules de police armés.
A New York, il a eu l’occasion un matin de conduire au travail le Secrétaire Général de l’ONU, Ban Ki Moon.
Alors que le tour du monde officiel de Palmer s’est terminé il y a plus de deux ans, il a continué à participer à des conférences et à des projets depuis lors. Mais Israël est la première station où il a posé sa voiture depuis la fin de son tour du monde et le 40ème pays qu’il visite. Un événement rendu possible par Tsur Mishal d’EcoCinema Israel.
Palmer a indiqué que « ce que nous avons à faire c’est de changer l’état d’esprit des gens ». « Si vous pouvez avoir une voiture qui fait le tour du monde sans essence, alors cette voiture est capable de vous amener au travail ou au supermarché. »
Indiquant un minuscule carré de 240 km sur 240 km, la taille de la Suisse, sur une carte du Sahara, Palmer a expliqué à son auditoire que des panneaux solaires couvrant tout cette surface suffiraient à alimenter le monde entier en électricité.
« En Israël, nous avons l’habitude de dire qu’un bon professeur est un professeur qui vous apprend la vie. Ainsi, vous êtes aussi un professeur et vous apprenez à tout le monde comment créer une vie meilleure que celle que nous avons aujourd’hui », a déclaré Erdan à l’intention de Palmer durant la conférence de presse.
Se référant à la petite course de l’après-midi qu’ils venaient d’effectuer, par rapport à laquelle, Erdan a remarqué qu’elle était « si tranquille », le ministre a demandé à Palmer pourquoi il pensait que les investissements au niveau mondial sur les véhicules solaires ne se produisaient pas.
Palmer a répondu : « Nous devons aligner l’argent, comme le font les Chinois. Je pense que l’industrie est encore hésitante, pour différentes raisons, mais pas parce que la voiture n’est pas satisfaisante », a expliqué Palmer au Jerusalem Post après l’événement. « Tout ce que je sais c’est qu’il n’y a aucune raison pour eux de ne pas le faire ».
Continuant à louer la Chine pour ses développements dans l’industrie solaire, il a ajouté que le pays d’Extrême Orient finira probablement par être le premier à produire en masse des véhicules solaires.
« S’il y a un seul pays dans le monde qui n’est pas en train de parler mais d’investir, c’est la Chine, » a-t-il déclaré.
Mais Palmer a dit nourrir de grands espoirs pour Israël concernant son futur de nation solaire, expliquant qu’elle bénéficiait de 35% d’ensoleillement de plus que son pays natal, la Suisse.
« Vous avez tellement de lumière solaire- il serait si facile et si magnifique d’utiliser cette puissance solaire », a-t-il fait remarquer à l’auditoire.
« Je suis ici pour démontrer que nous avons les solutions ».
(Traduction: Ambassade d’Israël à Berne)